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| + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) | |
| Teddy-Lloyd Gedwyr
MESSAGES : 16 PSEUDO : FLORIAN. AVATAR : LOUIS TOMLINSON. CREDITS : AVATAR © HEARTLESS SCREEN.
| Sujet: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 11:09 | |
| teddy-lloyd gedwyrc’est moi babar, le roi des éléphants. #001. nom : j’ai hérité du nom de mon géniteur, gedwyr. c’est malheureusement quelque chose qui restera toute ma vie, et même après ma mort… ce n’est que le souvenir permanent d’une figure absente. #002. prénom : tout comme ma sœur jumelle, j’ai un prénom composé. je m’appelle teddy-lloyd, et ça me convient parfaitement. la plupart du temps, les gens me surnomment ted ou tout simplement teddy. emrys s’amuse à beugler teddichou à longueur de journées. #003. âge : j’ai vingt-et-un ans et toutes mes dents — enfin, je crois ?! j’ai jamais été doué en svt. #004. date de naissance : je suis né un quatorze mars. #005. lieu de naissance : je ne suis jamais parti d’ici. boston a été la ville qui m’a vu naître, j’espère que ce ne sera pas celle qui me verra mourir… l’horreur si je devais resté cloitré ici ! #006. nationalité : je suis américain. et oui j’aime les hamburgers. et non je suis pas obèse. #007. origines : d’après ma sœur on aurait des origines irlandaises. ça aurait pu être pire, genre écossaises… j’aurai été roux, t’imagines la tronche ?! #008. activité professionnelle : je fais des études de commerce à l’université de boston et en parallèle j’ai un contrat étudiant de vendeur chez american apparel. #009. situation amoureuse : vierge en tous points. #010. traits de caractère : peureux, joueur, responsable, amusant, réservé, loyal, gentillet, pleurnichard, intelligent, pédant, moqueur, courageux, protecteur, sensible, sérieux, influençable, cultivé, droit, perfectionniste, gamin, consciencieux, moralisateur, passionné, fin, naïf, sage, réfléchi, douillet. #011. aime : ma sœur jumelle penny-lou, mon meilleur ami emrys, le thé, les glaces à la pistache, la noix-de-coco, le son de la pluie, l’été, ses études, la vie, les petites mamies, les chatons, les garçons. #012. n'aime pas : les filles (forcément), ne rien faire de ma journée, les endives, les petits chiens dégueulasses, les gens moches, ceux qui n’ont aucun goût vestimentaire, ceux qui emmerdent ma sœur et/ou mon meilleur ami, les vieux pépés. mais mon géniteur reste certainement ce que je déteste le plus. #013. groupe : paypal card. #014. avatar : louis tomlinson, aka. choucroute sur le côté. #015. crédits : avatar © teenage fantasy, icônes © tumblr @wingsicons & @iconstop. more about you #001. Quel genre d'achats fais-tu au centre commercial ? ça dépend de ce que j’ai envie. en fait, c’est rare que je prévois un achat. généralement, je fonctionne aux coups de cœur, sauf quand j’ai réellement besoin de renouveler quelque chose (du genre une nouvelle paire d’écouteurs, du thé, des caleçons, etc.). disons que pour certaines choses j’ai mes habitudes, et pour d’autres c’est l’aventure. si je devais faire une liste de mes achats, je dirais que la plupart du temps j’achète des fringues. des pantalons de couleur, des chemises, des accessoires de mode (chaussettes à imprimé, bretelles, sacs d’homme, etc.), et surtout des chaussures. après viennent les produits de beauté, parce que même si je suis un mec, je veille à prendre soin de ma peau et de mes cheveux — parce que mes cheveux, c’est toute ma vie. shampoing, après-shampoing, masque, démêlant, soin protecteur. j’ai tout ce qu’il faut. et en dernier lieu viennent les jeux-vidéos, parce qu’avec emrys, on est des geeks en puissance. pour ce qui est des magazines, j’en pique à ma sœur le plus souvent. #002. À quelle fréquence te rends-tu au centre commercial par mois ? Par semaine ? généralement je m’y rends facilement deux fois par semaine. mais j’achète pas toujours, déjà parce que j’attends le renouvellement des stocks, et aussi parce que je tiens tout de même à mon argent. #003. Te considères-tu comme un acheteur compulsif ou, au contraire, un économe ? disons que je me situe entre les deux. je suis un acheteur responsable; je me prive pas quand j’ai un coup de cœur mais je sais reconnaître quand il faut arrêter. j’évite de dépenser plus que ce que je n’ai, contrairement à ma sœur qui est tout le temps dans le rouge. je me demande même comment notre banquier arrive encore à la supporter, ahah. heureusement que je temporise derrière avec mon attitude irréprochable. –sourire bright, narmol- the real you is you #001. prénom : florian. #002. âge : vingt-et-un ans. #003. Pays, région : france, centre. #004. comment as-tu trouvé le forum ? via bazzart. #005. fréquence de connexion : environ quatre à cinq jours sur sept. #006. un dernier mot ? ce forum c’est de la bombe, et ce bleu est juste magnifique ! #007. pour le bottin - Code:
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[b]LOUIS TOMLINSON[/b] ⇝ Teddy-Lloyd Gedwyr
Dernière édition par Teddy-Lloyd Gedwyr le Jeu 14 Mar - 16:25, édité 9 fois |
| | | Teddy-Lloyd Gedwyr
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| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 11:09 | |
| now your story amazing us Deux petites têtes blondes dévalent les escaliers entre rires et cris d’euphorie. Le Prince et la Princesse font apparition dans le salon sous le regard mi agacé mi amusé de la Reine. Calmez-vous et venez manger, ça va être froid. La Princesse se dirige avec un sourire vers le méchant Roi, toute de rose vêtue, et tente de l’agripper alors que celui-ci lit son journal. D’un geste sans douceur, il la repousse et la sermonne; jamais il ne fallait se montrer tendre avec lui et la Princesse venait de franchir la limite acceptable. Alors le Prince baisse la tête, ne voulant pas supporter le regard triste de sa sœur jumelle, triturant son épée en plastique avec gêne. L’insulte quotidienne sortit des lèvres du paternel à l’égard de sa petite fille. «Débile» était un mot devenu récurrent dans la bouche de cette brute. Complètement allergique aux émotions, il n’avait en plus de ça jamais supporté le léger retard de croissance de sa fille. Elle qui avait pris davantage de temps que son frère avant de parler, elle butait encore sur les mots et bégayait quelque peu du haut de ses dix ans. Le Prince s’avance alors vers sa sœur et tente de lui prendre la main, mais cette dernière s’éclipse en courant du salon pour remonter dans sa chambre; la Princesse allait revêtir une tenue plus supportable aux yeux du méchant Roi. Mais le Prince ne bouge pas, il reste planté sur ses deux petits pieds, observant cette figure paternelle avec lequel il n’avait jamais eu un rapport normal. Le méchant Roi plante son regard de jais dans le sien. Sa veine frontale semble prête à exploser. Il attrape bien vite l’épée du Prince et la casse en deux de ses mains d’acier. Les larmes du Prince ne se firent pas priées pour déferler sur ses petites joues. Le méchant Roi finit par se lever avec agacement, claquant la porte du château. À tout jamais. Échoué comme une larve sur mon lit, j’étais allongé sur le ventre, parmi une tonne de coussins. Mes bras entouraient une énorme peluche de Pikachu et j’étais occupé à envoyer des messages salaces à Emrys pour le faire chier. Il était neuf heures et j’étais déjà sur le pied-de-guerre, attendant patiemment le réveil de ma sœur pour aller faire un tour en ville. On devait y retrouver Emrys pour glander un peu avant d’aller à l’entraînement de foot. Mais en pleine rédaction d’un énième sexto de mauvais goût, j’entendis la voix de ma sœur en bas, haussant le ton contre notre mère. Abandonnant mon portable dans la mare de coussins et de peluches, je ne pris pas le temps d’enfiler mes chaussures et dévala les escaliers en chaussettes. Dans la précipitation, je loupai la dernière marche et m’explosai le séant sur le parquet. Je me relevai en jurant et me dirigeai vers le salon. Ma mère était posée sur le canapé, un verre de whisky à la main. Ma sœur l’observait avec dégoût et agacement. Ma mère ne s’était jamais remise de la séparation. Cinq années s’étaient écoulées et tous les jours c’était la même rengaine. Du haut de mes quinze ans, j’étais longtemps resté spectateur de cette situation, tandis que ma sœur tentait tant bien que mal de faire réagir ma mère. Elle avait beau essayer de toutes ses forces, mais rien n’avait marché jusque-là. Alors j’ai vite compris que c’était à moi de prendre les commandes, d’être l’homme de la maison. Et encore une fois ce matin, ma sœur était au bord de l’implosion. Ouvrant la bouche, je m’apprêtai à la calmer mais je vis dans son regard les larmes s’accumulaient. Elles coulaient lentement sur ses joues rosées, Penny observant cette pâle figure de mère qui lui rappelait sans cesse le départ de celui qu’elle croyait être l’homme de sa vie, son père. Elle tourna la tête vers la table où notre mère avait commencé à préparer le petit-déjeuner. Mon regard suivit le sien et je compris que c’en était trop pour elle. Quatre bols, quatre cuillères; sauf que mon père ne reviendrait jamais manger avec nous. De nouveau, j’ouvris la bouche mais rien ne put sortir avant que Penny ne déchaîne sa colère. Se dirigeant vers la table, elle envoya tout valser d’un revers de bras avant de se laisser glisser sur le sol, en pleurs. Les bols éclatèrent en de grossiers morceaux sur le parquet. Je fermai les yeux en inspirant longuement. Dieu que je détestais cette ambiance à la maison. Et là je n’avais envie que d’une chose, c’était de m’éclipser, de courir rejoindre Emrys pour m’effondrer dans ses bras. Mais pour le coup, j’avais des responsabilités à assumer, et je m’étais promis de veiller sur ma sœur et ma mère — ou du moins ce qu’il en restait pour cette dernière. M’approchant doucement de Penny, je m’accroupis à sa hauteur en attrapant les torchons par terre. À la vue de son bras ensanglanté, j’essayai de ne pas lui faire mal en nettoyant quelque peu la plaie. Mais elle s’emporta de nouveau, m’insultant presque avant de fuir la maison. Je restai par terre, à genoux. Je tournai la tête vers ma mère, toujours assise sur le canapé, inexpressive et absente. Va falloir que tu te rentres dans le crâne qu’il ne reviendra jamais… soufflai-je avant de quitter le salon à mon tour. Comme à mon habitude, j’étais fourré dans ma chambre, trop embarrassé à l’idée de me trouver dans la même pièce que mon alcolo de mère. Même si je l’aidais à s’en sortir, mes efforts avaient été vains jusqu’à présent et j’avais décidé de prendre un peu de recul. Sa sœur venait parfois nous rendre visite et s’occuper d’elle. C’était ma tante mais je la connaissais à peine. Si elle pouvait la prendre avec elle, ça nous faciliterait sûrement la vie, à Penny et moi. Étendu de tout mon long sur le lit, je fixai passivement le plafond, tâchant d’éviter d’avoir ce genre de pensées qui me faisaient sentir coupable l’instant d’après. La maison était silencieuse, ma mère devait sûrement dormir dans le canapé du salon après une énième cuite et ma sœur était partie au centre commercial, pour changer. Je devais ressembler à un mort, allongé comme un piquet, les jambes droites et les bras le long du corps. Sentant la présence de quelqu’un, je tournai vivement sur le côté et je vis Emrys appuyé sur le chambranle de la porte, les bras croisés. Je soupirai de soulagement. Ça a pas l’air d’aller mon vieux. Mon regard se perdit de nouveau sur le plafond. Il s’approcha doucement, s’allongeant sur mon lit double à côté de moi, sur le ventre. Un silence s’installa quelques minutes. Ta sœur m’avait prévenu que tu voulais rester seul. Mais je me suis dit que t’aurais pas été contre un câlin de ton meilleur ami — si t’évites de lui toucher les fesses ceci dit ! Je ris doucement, lui donnant un coup de coude. Allez viens-là. Emrys bascula sur le dos et je basculai presque sur lui, posant ma tête dans le creux de son épaule, une jambe posée sur son ventre. Dis, tu crois qu’un jour on aura une vie de famille normale ? Ma question allait rester sans réponse. Emrys n’en savait rien. On est deux pour surmonter ça, Teddy. Et y a ta sœur aussi. Mon doigt dessinait des tourbillons sur le haut de son torse à travers son tee-shirt. Tu veux bien rester un peu dormir avec moi ? demandai-je timidement. Sans qu’il n’ait besoin de répondre oralement, il resserra un peu plus son étreinte, passant sa main dans mon cou pour me faire des papouilles. Alors… Si t’as faim y a un paquet de chips et une bouteille de coca planqués sous le lit. Y a aussi un magazine de foot et ma game-boy dans le tiroir de ma table de nuit. Tout est à portée de mains, t’as même pas besoin de bouger, du coup tu me réveilleras pas. Je savais que t’allais accepter de rester, j’avais déjà tout prévu. Et oui c’est un kidnapping. Emrys éclata de rire. Fermant les yeux, je m’apprêtai enfin à me reposer. Mercredi après-midi. Une pluie torrentielle. Entraînement hebdomadaire de football dans le club de Boston avec Emrys. Même si j’assumais totalement mon orientation sexuelle, c’était le seul endroit où je n’avais pas osé l’avouer. Après tout, même si j’étais ce genre de type qui faisait la peau aux clichés, j’appréhendais la réaction de mes potes de terrain. La plupart était sympa et on se marrait bien avec eux. Mais forcément, il fallait toujours une poignée d’abrutis dans une team. J’avais la chance d’avoir Emrys à mes côtés, un brin surprotecteur avec moi. Il avait toujours peur qu’il m’arrive quelque chose dans les vestiaires ou sur le terrain. Alors il gardait constamment un œil sur moi, montant au créneau quand un joueur devenait un peu trop virulent avec moi. Et cet après-midi-là, j’étais pas vraiment en forme. Ma mère avait été particulièrement pénible la nuit dernière et j’avais très peu dormi. J’en avais vraiment marre de cette situation, d’autant que Penny fuyait la maison à longueur de journées. Au final, s’il n’y avait pas Emrys, je me serai retrouvé seul dans cette galère. Du coup, qui dit fatigue dit mauvaise performance sur le terrain. Généralement, j’étais un petit génie du ballon rond, c’était d’ailleurs l’une de mes plus grandes fiertés. On jouait contre une autre équipe de la ville, histoire de s’entraîner. Au moment où c’était à moi d’entrer en scène, je loupai ma passe décisive pour la troisième fois en à peine une demi-heure. Pour l’un de mes équipiers, c’en était trop; ni une ni deux, il s’approcha dangereusement vers moi, la mâchoire et les poings serrés. Qu’est-ce que tu fous Gedwyr ?! T’es vraiment une merde putain… Il alpagua le reste de ses potes. On va pas aller loin avec un pédé pareil. Première fois qu’il me traitait ainsi. L’insulte eut l’effet d’une bombe, j’avais l’impression qu’on venait de me frapper dans l’estomac. Si la nouvelle de mes préférences venait à se répandre dans l’équipe, j’étais persuadé de devoir plier bagages. Attends j’ai pas très bien entendu ce que t’as dit. Répète un peu là. Emrys s’était approché aussi, s’interposant entre l’abruti et moi. Il fulminait intérieurement, je pouvais aisément le deviner. Laisse tomber Em, il en vaut pas la peine. C’est pas grave. Nan nan, c’est hors de question, je lâcherai pas l’affaire Ted. Vas-y, répète. Répéter quoi ? Qu’on ira pas loin avec un pédé comme Gedwyr ? Bah ouais, c’est la pure vérité mon pote. J’suis pas ton pote… connard. Et le poing d’Emrys vint s’écraser avec violence contre la joue du type. Le mec s’étala dans l’herbe inondée par la pluie qui ne cessait plus alors que mon meilleur ami se jetait sur lui pour le ruer de coup. Une bagarre des plus violentes qui faillit finir en baston général. Les deux entraîneurs tentèrent tant bien que mal de séparer tout le monde. Dans l’affrontement, je reçus involontairement un coup de coude dans le pif. Manquait plus que ça pour bien finir la journée. Pissant le sang par le nez, je me reculai de la scène. Les genoux pliés et les mains sur les cuisses, je laissai le liquide rougeâtre s’écoulait lentement dans l’herbe mouillée. Quand Emrys remarqua ma blessure, il se dégagea des bras de l’entraîneur qui le retenait et accourut vers moi. Putain amour, ça va ?! Sérieux j’vais le niquer ce bâtard ! Ramène-moi chez moi, j’en ai marre… Je quittai le terrain sans prévenir, talonné par Emrys qui insultait tout le monde et faisait des bras d’honneur à tout va. Dans les vestiaires, je m’assis sur le banc et mon meilleur ami m’aida à ôter mon tee-shirt. Accroupi face à moi, il tenta d’éponger le sang avec une serviette. Heureusement, c’était pas bien grave, j’avais échappé à l’hémorragie. Je passai une main dans les cheveux trempés d’Emrys pour le recoiffer un peu. Au dehors, l’orage grondait. Je tremblai de froid, on était gelé jusqu’aux os. Em’ me gratifia d’un petit bisou sur mon nez meurtri avant de me tirer par le bras. On prend notre douche en amoureux et on se casse, d’accord ? T’en as rien à foutre de ces pauv’ types, laisse-les dire. Ah lui, qu’est-ce que j’l’aimais ! TEDDY ! La femme de ma vie, mon double. Ma sœur jumelle Penny avait cette fâcheuse habitude d’hurler mon prénom pour que je vienne alors que nos chambres se trouvaient l’une à côté de l’autre. Sans attendre, je reposai ma guitare avec laquelle je jouais depuis un peu plus d’une demi-heure maintenant. Short, tee-shirt et pieds nus, je me dandinai jusque dans sa chambre où j’allai m’écraser dans son lit parmi les coussins et les peluches. Elle m’ébouriffa les cheveux, sautant de son lit pour ouvrir son armoire. Mon regard la suivit et je vis son air consterné. Tu te rends compte, j’ai plus rien à me mettre. Non mais t’es sérieuse ? Ta penderie c’est Bagdad tellement ça s’entasse dans tous les coins. Elle me fusilla du regard. C’est indécent de te plaindre comme ça. Elle attrapa une tong qu’elle jeta dans ma direction. J’éclatai de rire. Ceci dit, on peut aller au centre commercial si tu veux, j’ai repéré un magnifique petit jean slim vert pomme qui me fait un boule d’enfer à la J-Lo. Clairement, tu peux pas passer à côté de ça. Et sinon euh… Emrys sera là ? Sûrement, il bosse à la pizzeria, on pourrait aller y manger un morceau. Je crus la voir rougir le temps d’un instant. Elle fit volte-face, plongeant la tête dans sa penderie. Y a un truc que t’aimerais me dire ? Alors là, pas du tout ! Pourquoi tu penses ça ?! C’est ridicule. Bizarrement, je n’arrivais pas à la croire totalement. Mais j’avais pas envie de chercher à comprendre, ça devait encore être un problème existentiel de filles. Je te laisse avec tes secrets bébé, tu m’appelles quand t’es prête. Et je fermai la porte de sa chambre derrière moi. ET PAS TROIS HEURES, JE VEUX CE JEAN, C’EST UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT.
Dernière édition par Teddy-Lloyd Gedwyr le Ven 15 Mar - 1:06, édité 12 fois |
| | | Sidney Mayflower
~ i'm bulletproof, nothing to lose.
MESSAGES : 785 PSEUDO : Cough Syrup./Marion AVATAR : Jennifer Lawrence. CREDITS : @herjuliwii/@tumblr
| | | | Madrid Times
MESSAGES : 55 PSEUDO : Freeefc AVATAR : Wilson Bethel CREDITS : Heartlesscre
| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 11:25 | |
| Bienvenue petit One Direction |
| | | Cece Chaplin
LET YOUR HEART HOLD FAST.
MESSAGES : 1078 PSEUDO : Bavboule. (amina) AVATAR : Naya sexy Rivera -héhé. CREDITS : @ WILD HEART.
| | | | | Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 15:03 | |
| le pseudo & l'avatar Bienvenue parmi nous ! |
| | | Grace Montgomery
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MESSAGES : 192 PSEUDO : Saraah. AVATAR : emma watson. CREDITS : goldcrest.
| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 15:11 | |
| Bienvenue ! Louis est trop mignon |
| | | Cappie Carstairs
MESSAGES : 422 PSEUDO : millie (mélodie). AVATAR : sophia.sexy.bush CREDITS : ©sugar slaughter (avatar), tumblr (gif)
| | | | | Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 17:42 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 17:58 | |
| Bienvenuuue sur le forum |
| | | | | | | | Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mar 12 Mar - 22:20 | |
| |
| | | Nathan Winston
‹ YOU MAKE ME FEEL ALIVE ›
MESSAGES : 604 PSEUDO : dark dreams. ~ Marine AVATAR : penn badgley. CREDITS : moi-même (avatar)
| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mer 13 Mar - 0:04 | |
| bienvenuuue sur SM & bonne chance pour ta fiche |
| | | Emrys Singh
MESSAGES : 72 PSEUDO : Reinettte AVATAR : ZAYNhotMALIK CREDITS : Frenchaddicted
| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mer 13 Mar - 19:11 | |
| - Citation :
- emrys s’amuse à beugler teddichou à longueur de journées.
Ouiouioui, c'est moi (a) ♥ |
| | | | Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Mer 13 Mar - 19:25 | |
| Bonne chance pour ta fiche mec |
| | | Sidney Mayflower
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MESSAGES : 785 PSEUDO : Cough Syrup./Marion AVATAR : Jennifer Lawrence. CREDITS : @herjuliwii/@tumblr
| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Jeu 14 Mar - 15:20 | |
| On attend l'avis de la créatrice du scénario |
| | | | | | | Sidney Mayflower
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| Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) Jeu 14 Mar - 15:44 | |
| Je suis d'accord la fiche est parfaite donc te voilà validé et bon jeu sur SHOPPING MALL |
| | | | Sujet: Re: + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) | |
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| | | | + qui avale une noix de coco fait confiance à son anus. (teddy-lloyd) | |
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